La transition de la montée vers la croisière est importante, elle doit être anticipée, surtout sur une machine performante. Lors de l’interception de l’altitude ou du niveau de croisière, à la puissance montée, le pilote laisse l’appareil accélérer jusqu’à la vitesse de croisière, réduit grossièrement l’effort à piquer au manche à l’aide du compensateur de régime, affiche la puissance croisière, et affine la compensation dès que la vitesse (subie) est stabilisée. Le pilote détermine alors l’ensemble des estimées des points tournants et l’heure d’arrivée à destination. Il poursuit la gestion carburant, et contrôle régulièrement l’ensemble des paramètres.
Le(s) rapport(s) suivant(s) du BEA sera(ont) développé(s) en article(s) pour cette phase de vol.
Accident de l'Extra 200 F-GPIT Passage en condition IMC sans intrument adapté - Télécharger la version PDF